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Les humanitaires, un poison nécessaire

Les humanitaires, un poison nécessaire L’aide sociale enlève à l’homme sa principale raison de travailler, qui est de survivre. L’aide doit aller aux enfants, aux handicapés et aux personnes âgées ainsi qu’aux vulnérables qui sont en besoins. « Avoir les moyens d’aider et ne pas aider c’est pêché » Mais cette aide sociale ne doit pas toujours être comprise dans le sens négative car bien est d’une grande importance. Elle l'est lorsque vous voyez Les yeux d’une mère qui ne peut nourrir ses enfants à cause du manque des moyens et qui ne recour qu'a cette aide pour survivre et faire survivre ses enfants.  Sans cette aide les gens mouraient de faim. Cette aide devrait être plus consacrée aux chômeurs qui pourront mourir de faim quand ils n’en n’ont pas. Il y a des gens qui en  ont besoins pour survivre «  j’ai vu dans les camps des déplacés des guerres au Nord-Kivu dans les périphéries de la ville de Goma, des gens qui ne vivent que des aides sociales

Il y a encore beaucoup des choses à apprendre

Il y a encore beaucoup des choses à apprendre Dans mon pays la RDC plus précisément dans la province du Nord Kivu en particulier dans la ville de Goma, il y a encore beaucoup des choses à apprendre, et curieusement la façon de manifesté est parmi ses choses que l’on doit encore apprendre. Je parle de la façon de manifesté que chez nous on appelle   aussi (la grève) parce que nous observons des habitudes à décourager pendants ses mouvements de grèves dans les artères principaux ainsi que dans les avenues qui sont entre autre : les casses des vitres des immeubles Étatiques et privés, les brulures des pneus, des jets des pierres sur des biens de valeurs appartenant aux investisseurs privés qui n’ont pas parfois rien à voir dans ses revendications et même pire il y a des pertes en vies humaines, etc. Tel que disent les sages ‘quand on revendique mal son droit, on risque de ne pas l’avoir’ ; c’est ainsi que dans notre ville on a choisi la mauvaise pratique de revendiquer no

On se croirait dans le festival de canne, mais non, pourtant c’est un festival nommé « Amani Itakuya » à Goma.

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On se croirait dans le festival de canne, mais non, pourtant c’est un festival nommé « Amani Itakuya » à Goma.  Avec des cadres de la Monusco et des journalistes correspondants des grandes chaines des télévisions internationales ainsi que des chercheurs venants des différentes provinces de la RDC et des pays étrangers. Moi dans mon coin avec mes deux camarades étudiants venant de l’ULPGL Goma, étions émus par l’accueil nous réservées dans ce milieu embelli par la beauté et la classe de ce milieu. Au fait de quoi s’agissait-il ? C’est un festival nommé « Amani Itakuya » 2 ème édition, organisé par la Radio Mutaani Fm en collaboration avec la Monusco. Une assise de deux jours dans laquelle j’ai beaucoup profité de la matière et des connaissances avec des personnalités venus des plusieurs horizons du monde. Les différents textes écrits sur la paix qui ont été développés tout le moment de la conférence du 20 au 21 Août 2015 ; concernant le rôle du média dans la contri