Les humanitaires, un poison nécessaire
L’aide sociale enlève à l’homme sa principale raison de
travailler, qui est de survivre. L’aide doit aller aux enfants, aux handicapés
et aux personnes âgées ainsi qu’aux vulnérables qui sont en besoins.
« Avoir
les moyens d’aider et ne pas aider c’est pêché »
Mais cette aide sociale ne doit pas toujours être
comprise dans le sens négative car bien est d’une grande importance. Elle l'est
lorsque vous voyez Les yeux d’une mère qui ne peut nourrir ses enfants à cause
du manque des moyens et qui ne recour qu'a cette aide pour survivre et faire
survivre ses enfants.
Sans cette aide les gens mouraient de faim. Cette aide
devrait être plus consacrée aux chômeurs qui pourront mourir de faim quand ils
n’en n’ont pas.
Il y a des gens qui en ont besoins pour
survivre « j’ai vu dans les camps des déplacés des guerres au
Nord-Kivu dans les périphéries de la ville de Goma, des gens qui ne vivent que
des aides sociales fournies par des ONG (Organisations Non
Gouvernementales). »
Les aides sociales donnent encore un sourire aux lèvres,
un ouf de soulagement et un espoir d’un lendemain meilleur pour ses familles
des déplacés abandonnés à leur triste sort dans les camps.
Un sac
de maïs peut sauver la vie de 10 familles en besoin
Un sac des maïs, à raison de deux grandes mesures par
ménage est capable de sauver la vie de 45 personnes et plus. Cela constitue une
ration alimentaire capable de faire des grands exploits de : nourrir une
famille pendant quatre jours et leurs données un espoir de vivre encore pendant
une semaine en attendant une autre donation ultérieure.
Ce mode de vie constitue un vécu quotidien des familles
et constitue pour eux un rythme de vie auquel, ils se sont déjà habituer car
ils n’ont aucune ressource autre que celle d’attendre ses aides humanitaires,
qui sont données par des bénévoles de partout qu’ils ne connaissent pas, et qui
à leur tour les bénévoles ne connaissent pas les bénéficiaires de ces dons.
La question la plus importante qui reste maintenant à se
poser est de savoir : « est-ce que ces aides sociales
parviennent-t-elles à couvrir les besoins ressentis par ces familles
(indigents, déplacés) vivants dans ses conditions ? »
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